Le jardin d’après
Sur les traces du Premier jardin d’Anne Hébert
Livre photographique publié avec les Éditions Loco
2021
C’est une terre sur laquelle siège une ville. C’est la nature qui y reprend furtivement sa place. Ville presque fictive qu’on ne nomme jamais, qu’on ne voit presque plus, mais dans laquelle se trouvent des amorces d’histoires, des morceaux de vérités et de fictions aussi intangibles que la lumière qui se pose sur un mur, à la surface de l’eau ou sur les arbres en fleur. Parmi les détails fuyants, les textures, la vie qui grimpe sur les bâtiments et se répand jusque dans les rues, la ville se révèle comme un personnage, comme un corps de femme, caché contre la rigidité des structures. Dans ce jardin planté derrière les grandes façades qui guettent le fleuve dorment des rôles envahissants, des vies éphémères, saisonnières ou vivaces.
Suivant les parcours que propose Le premier jardin (1988) d’Anne Hébert, Anne-Marie Proulx s’inspire librement de la façon dont une vieille ville d'Amérique y est imaginée à travers les yeux d’une femme habitée par celles qui l'ont précédée. Une actrice qui convoque des voix, des répliques qu’elle a été appelée à prononcer au cours de sa carrière, qui l’accompagnent dans cette nouvelle pièce jouée à ciel ouvert.
Le jardin d’après
Anne-Marie Proulx
14x20,5 cm
192 pages
Reliure allemande sous jaquette
Photographies noir et blanc et couleurs
Extrait du Premier jardin d’Anne Hébert et répliques de théâtre
ISBN 978-2-84314-042-6
Conception graphique Marie Tourigny
Éditions Loco, Paris
Me contacter pour acheter un exemplaire
En librairie au Québec 40,95$
leslibraires.ca
En librairie en France 22 €
Presse
Collectif blanc, « Traces vivantes », Vie des arts, no 262, été 2021
Marie-Ève Charron, « Anne-Marie Proulx sur les traces d’Anne Hébert », Le Devoir, 29 mai 2021
Josianne Desloges, « Anne-Marie Proulx passe Le premier jardin au révélateur », Le Soleil, 13 juin 2021
Anne-Frédérique Fer, « Podcast : interview de Anne-Marie Proulx », France Fine Art, 27 septembre 2021
Michel Hardy-Vallée, « Et fili? De la transmission culturelle et du livre photographique », Ciel variable, no 119, hiver 2022
Didier Morelli, « Flânerie spirituelle et spectre visuel : la ville d'après Anne-Marie Proulx », Le Sabord, no 120, hiver 2022
Louis Perreault, « Le jardin d’après, d’Anne-Marie Proulx », Ciel variable, 23 novembre 2021
Laurence Perron, « Polar(oïd) : femmes filées, femmes filantes », Spirale, no 278, hiver 2022
Élisabeth Recurt, « Le jardin d’après », Ciel variable, no 119, hiver 2022
Emmanuel Simard, « Des voix dans le jardin », Lettres québécoises, no 182, automne 2021
Jean-Marie Wynants, « La ville qui était un jardin », Le Soir, 7 décembre 2021
Cette publication a été rendue possible grâce au soutien financier de Première Ovation.
Sur les traces du Premier jardin d’Anne Hébert
Livre photographique publié avec les Éditions Loco
2021
C’est une terre sur laquelle siège une ville. C’est la nature qui y reprend furtivement sa place. Ville presque fictive qu’on ne nomme jamais, qu’on ne voit presque plus, mais dans laquelle se trouvent des amorces d’histoires, des morceaux de vérités et de fictions aussi intangibles que la lumière qui se pose sur un mur, à la surface de l’eau ou sur les arbres en fleur. Parmi les détails fuyants, les textures, la vie qui grimpe sur les bâtiments et se répand jusque dans les rues, la ville se révèle comme un personnage, comme un corps de femme, caché contre la rigidité des structures. Dans ce jardin planté derrière les grandes façades qui guettent le fleuve dorment des rôles envahissants, des vies éphémères, saisonnières ou vivaces.
Suivant les parcours que propose Le premier jardin (1988) d’Anne Hébert, Anne-Marie Proulx s’inspire librement de la façon dont une vieille ville d'Amérique y est imaginée à travers les yeux d’une femme habitée par celles qui l'ont précédée. Une actrice qui convoque des voix, des répliques qu’elle a été appelée à prononcer au cours de sa carrière, qui l’accompagnent dans cette nouvelle pièce jouée à ciel ouvert.
Le jardin d’après
Anne-Marie Proulx
14x20,5 cm
192 pages
Reliure allemande sous jaquette
Photographies noir et blanc et couleurs
Extrait du Premier jardin d’Anne Hébert et répliques de théâtre
ISBN 978-2-84314-042-6
Conception graphique Marie Tourigny
Éditions Loco, Paris
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En librairie au Québec 40,95$
leslibraires.ca
En librairie en France 22 €
Presse
Collectif blanc, « Traces vivantes », Vie des arts, no 262, été 2021
Marie-Ève Charron, « Anne-Marie Proulx sur les traces d’Anne Hébert », Le Devoir, 29 mai 2021
Josianne Desloges, « Anne-Marie Proulx passe Le premier jardin au révélateur », Le Soleil, 13 juin 2021
Anne-Frédérique Fer, « Podcast : interview de Anne-Marie Proulx », France Fine Art, 27 septembre 2021
Michel Hardy-Vallée, « Et fili? De la transmission culturelle et du livre photographique », Ciel variable, no 119, hiver 2022
Didier Morelli, « Flânerie spirituelle et spectre visuel : la ville d'après Anne-Marie Proulx », Le Sabord, no 120, hiver 2022
Louis Perreault, « Le jardin d’après, d’Anne-Marie Proulx », Ciel variable, 23 novembre 2021
Laurence Perron, « Polar(oïd) : femmes filées, femmes filantes », Spirale, no 278, hiver 2022
Élisabeth Recurt, « Le jardin d’après », Ciel variable, no 119, hiver 2022
Emmanuel Simard, « Des voix dans le jardin », Lettres québécoises, no 182, automne 2021
Jean-Marie Wynants, « La ville qui était un jardin », Le Soir, 7 décembre 2021
Cette publication a été rendue possible grâce au soutien financier de Première Ovation.